Cette 14ème session du Prix arabe Mustapha Azzouz de littérature pour enfants de l’ATB, a été dénommée « Edition Souad Affès », en hommage à une dame qui a tant donné durant sa vie à la culture, au savoir, aux jeunes et aux enfants pour leur épanouissement, et pour ce Prix arabe Mustapha Azzouz. Souad Affès nous a quittés un certain 12 août 2022. En ouverture de cette rencontre littéraire, jeudi dernier 1er juin 2023 dans un hôtel de la place, un vibrant hommage a été donné à la défunte par le témoignage de sa plus proche amie, Mme Faïza Kéfi, ancienne ministre et ambassadrice, et par un reportage vidéo retraçant son parcours, ce qu’elle a donné d’elle-même pour la Culture en général et présentant de nombreux témoignages de ceux qui l’ont côtoyée.
Par la suite, c’est M. Mohamed Aït Mihoub qui a ouvert officiellement cette édition, lequel Feue Souad Affès avait tenu à lui léguer la responsabilité de diriger le Prix arabe Mustapha Azzouz de littérature pour enfants de l’ATB. Après quoi, les débats ont été entamés par les différentes interventions programmées durant cette journée du jeudi, de la part des conférenciers venus de quelques pays arabes dont l’Algérie, le Maroc et le Bahreïn, en plus des participants tunisiens.
Le lendemain vendredi 2 juin, était consacré à la remise des prix aux lauréats parmi les 145 participants à cette édition, venus d’une vingtaine de pays arabes, en plus des prix d’encouragement aux néophytes de la littérature parmi nos élèves.
Le palmarès de cette 14ème édition s’est établi comme suit :
Prix du roman de libre expression (10 mille dinars) : Aïssa Jebabli (Tunisie) pour son roman « Ajinahat el-yassamine » (« Les ailes du jasmin »).
Prix spécial sur la littérature du défi et de l’affirmation de soib> (12 mille dinars) : Asma Zeïtoun (Jordanie) pour son roman « At-tifl alladhi ghayara al-hykayet » (« L’enfant qui a changé les contes »).
Prix d’encouragement (Mille dinars) :
Selma Abdelli (Sidi Bouzid) pour son roman « Asseïf wel qalb » (« L’épée et le cœur »).
Mohamed Habibi (Borj El-Amri) pour son roman « Al-iqab wel bouma » (« Le vautour et le hibou »).
Mohamed Amine Derouaq (Maroc) : pour son roman « Mad wa faqd » (« Don et privation »).